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Il segmento testuale Cette è stato riconosciuto sulle nostre fonti cartacee. Questo tipo di spoglio lessicografico, registrazione dell'uso storicamente determinatosi a prescindere dall'eventuale successivo commento di indirizzo normatore, esegue il riconoscimento di ciò che stimiamo come significativo, sulla sola analisi dei segmenti testuali tra loro, senza obbligatoriamente avvalersi di vocabolarii precedentemente costituiti.
Nell'intera base dati, stimato come nome o segmento proprio è riscontrabile in 117Analitici , di cui in selezione 5 (Corpus autorizzato per utente: Spider generico. Modalità in atto filtro S.M.O.G.: CORPUS OGGETTO). Di seguito saranno mostrati i brani trascritti: da ciascun brano è possibile accedere all'oggetto integrale corrispondente. (provare ricerca full-text - campo «cerca» oppure campo «trascrizione» in ricerca avanzata - per eventuali ulteriori Analitici)


da [Gli interventi] Jean Desanti in Studi gramsciani

Brano: Jean Desanti

Chers amis, en écoutant toutàl’heure l’exposé si riche de notte camarade Luporini, je voyais se dégager devant moi t’image d’un philosotphe d:e type nouve.au, d’un philosophe révolutionnaire par rapport à ceux qui avaient existé dans; le passé.

C’est cette image que je voudrais essayer de préciser. C’es,t de ce philosophe que je voudrais essayier d’esquisser briièvement le portrait.

Il existe, du philosophe, une figure traditionnelle, et Luporini l’évoquait, lorsqu’il panlait du fondateur de la phénoménologie, Husserl. Husserl a lui mème défini cette tàche — sa tàche — philosophique, lorsqu’il a dit : « Je suis le fbnctionnaire de l’humanité ».

Qu estce que cela veut dire dans son esprit? Cela veut dire que le philosophe se p'résente cornine quelqu’un qui inaugure véritablement la philosophie, comme quelqu’un qui tient en ses mains, et en ses seules mains, le sort de toute vérité; de telle sorte que les: autres n’aient p*lus qu’à necevoir cette vérité qu’il dit. Son dessein philosophique se présente devant lui comme le projet dune sèrie de démarehes par lesquelleis toute véirité pensabile au monde sera dite, mais par lui sieul.

Telle est du moins sa p'rétention. Mais comment est elle mise en oeuvre; et que rencontfetelle sur son chemin? Précisément elle rencontre 'le mionde, le monde dans lequel les hommes pensent et agissent.

Et visàvis du monde, le philosophe, pour, conserver pur son dessein de vérité, prend une attitude de dófiance et de retrait. Il se retranche du monde, il se retine dans sa différence; dès lots sa philosi[...]

[...]iment théorique: voilà me semblentil un souci en lui mème déjà philasophique.

Ce souci me semble toutàrfait fondé et de nature à éviter au phiiosophe de profession quelques mécomptes. On sait, en effet, qu’un problème tourmente le phiiosophe; celui du commencement de la philosophie, de 'la déterminati'On de la philosophie comme prò jet de vérité pur de tout préjugé: le problème d’une philosophie sans présuppositions, comme disait Husserll.

Cette prétention, Gramsci mentre comment elle s’effondre. Il n’y a pas de commencement absolu de la philosophie, mais il y a toujours,Jean De santi

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déjà élaborée, une certaine philosophie, un oertain degré de philosophie, une « philosophie commune ». Chacun y a accès du fait mème qu’il partecipe d’un mouvement de culture en voie de conisititution, et du fiait que ce mouvement cherche son chemin vers la .claire conscience et la forme d’expression universelle que peut lui donner la pensée par concepts.

Une formule revient à plusieurs raprises sous la piume de Gramsci : « c’est — ecritil[...]

[...] lui mème, qui fait rapprentissage de lui mème et de ses moyiens de connaissance dans les actes par lesquels il afEronte le monde et l!es problèmes que k société lui pose. Dire que « c’est l’homme qui philosophe », c’est donc comprendre la philosophie cornine phénomène de culture, camme élémente en développement au sein de la conscience sociale, élément capable de se refléchir soimème en réfléchissant ce développement.

Si nous creusons un peu cette idee, nous allons voir alors apparaìtre une sèrie de oonséquences fondamentales.

Et en premier lieu celieci. Si ce qui vient d’ètre dit est vrai, alors il existe un sens fort du mot philo'sophie. La philoisophie ne peut plus ètre seulement l’oeuvre d’un penseur solitaire qui repenserak le monde pour soi et dans la paix id’un mouvement de réflexion qu’aucun souci du monde ne viendrait jamais troubler.

> La philosophie pour Gramsci est un mouvement réel, socialement constitué, au cours duquel s’affrontent et deviennent conscients les confiits qui opposent les claisses sociales dans une fo[...]

[...]e qui repenserak le monde pour soi et dans la paix id’un mouvement de réflexion qu’aucun souci du monde ne viendrait jamais troubler.

> La philosophie pour Gramsci est un mouvement réel, socialement constitué, au cours duquel s’affrontent et deviennent conscients les confiits qui opposent les claisses sociales dans une formation économique et sociale donnée prise à un stode donné de son développement.

Gramsci a insistè particulièrement sur cette idée, que la période historique au couds de laquelle une classe sociale se constitué cornine « classe pour soi » et cherche le chemin de l’hégémonie, développe devant soi, pour ainsi dire, un domaine d’idées eneore en devienir, enoore nébuleux, un ensemble d’exigences qui prennent racine dans l’activité pratique des classes en présence et se nourrissent de cette activité.

Ce complexe, que nous pouvons lappeler « idéopradque », constitue la terrain où peuvent prendre naissance les concep'tions élaiborées du monde, dans lesiquelles se tissie, au moyen de l’usage de la pensée.556

Gli interventi

par ooncepts, un lion organique etntre les instruments objectifs dont ia société dispose, et les projets politiques ©t idéologiques que les classes en lutee proposent pour résoudre ou pour se représenter les contradictions résultant de leur pratique.

Gramsci lindique qute cette élaboration peut ètre l’oeuvre d’un grand penseur individuel. Mais elle n[...]

[...]onstitue la terrain où peuvent prendre naissance les concep'tions élaiborées du monde, dans lesiquelles se tissie, au moyen de l’usage de la pensée.556

Gli interventi

par ooncepts, un lion organique etntre les instruments objectifs dont ia société dispose, et les projets politiques ©t idéologiques que les classes en lutee proposent pour résoudre ou pour se représenter les contradictions résultant de leur pratique.

Gramsci lindique qute cette élaboration peut ètre l’oeuvre d’un grand penseur individuel. Mais elle ne peut se produire que sur le fond de ce qui a été déjà élaboiré par le développement de la pratique sociale.

On voit que dans cette conoeptioin de la philosophie le moment subjectif, le moment individuel n’est nullement aboli. Il est simple ment pensé dans son contenu, situé comme moment spécifìque dans l’ensemble de l’activité complexe par. laquelle une philosophie est produite en tant quélément aictif, organisateur, d’une culture en devenir.

De là dérive une deuxième idée. S’il est vrai que la création dune philosophie au sens fort est à la fais universelle et individuelle le second moment cependant, le moment individuel, est, dans le développement, toujours subordonné au premier.

Ce qui distingue en effet le phil[...]

[...]r conflit mème.

Il me semble que c’est lune des originalités de Gramsci d’avoir pensé ces dieux aspects de la philosophie dans leur unité organique.

En analysant la notion d’aotivité et de création philosophique il a montré que l’expression conceptuelle propre au philosophe de profession n’est jamais que méditation vers la réalké concrète. Elle est un moyen en vue de l’élaborer. Mais elle est une médiiation nécessaire, parce que sans elle, cette réalité et la pratique mème quelle engendre resteraient tributaires des représentations immédiates, confuses, fluides et aisément mythiques propres aux formes spontanées de la conscience sociale.Jean Desanti

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Mais Gramsci me se borne pas à affirmer l’exigence dune telle unité. Son souci a été de montrer comment cette unité sopóre dune manière diffèrendée à chaque moment de l’histoire, comment en elle se constiate l’unké de la théoriie et de la pratique, et comment elle exprime par là le mouvement de rhistoire.

Or, si l’on se place, camme Gramsci, au point de vue du développement 'social, il est clair qu’une telle unité ne sapere pas de la mème manière ni au mème niveau dans toutes les formations sooiales, ni dans une «formation sociale donnée, à tous les moments de son devenir.

Il peut amver que cette unité se brise ou qu’elle ne puisse pas se oonstituer. Dans ce cas l'a philosophie se déploie coimm[...]

[...]ue moment de l’histoire, comment en elle se constiate l’unké de la théoriie et de la pratique, et comment elle exprime par là le mouvement de rhistoire.

Or, si l’on se place, camme Gramsci, au point de vue du développement 'social, il est clair qu’une telle unité ne sapere pas de la mème manière ni au mème niveau dans toutes les formations sooiales, ni dans une «formation sociale donnée, à tous les moments de son devenir.

Il peut amver que cette unité se brise ou qu’elle ne puisse pas se oonstituer. Dans ce cas l'a philosophie se déploie coimme activité abstraite, aliónée, ignorante dellemème, de son mode dapprentissage, de son mode de développement; elle se déploie comme pure spéculation. Mème alors elle continue d’exprimer le mouvement de la pratique; mais le contenu coneret de ce mouvement lui demeure mystérieux, il reste masqué au penseur par le déroulement conoepituel luimème.

Or, Gr'amsci introduit ici une distincti'on importante. Il peut arriver que ce rapp’ort à la pratique, qui est toujours présent, toujours réel, soit to[...]

[...]ndre pour tenter de comprendre, de repenser, le développement réel de l’histoire. Elle se met à l’écart de l’histoire. Elle devient, à la limite, ce que nous pourrions appeler un « divertissement réfléchi ». Mais il se peut que les concepts, élaborés au niveau de la plus haute abstraction, trouvant dans la pratique sociale le noyau et la source de la vérité, tirent leur cohésion, leur force de conviction, des exigences de développement propres à cette pratique. Il se peut qu’ils reviennent vers cette pratique; qu’ils transforment l’espdLt public et qu’ils engendrent en étant repris, repensés par des hommes vivants un nouveau «sens oommun», un nouveau « bon sens ». Alors, mème si elle a trouvé son expression réfléchie sous la forme la plus abstraite, mème si, dans cette expression, des aspects entiers du réel ont été trahis ou mutilés, la philosophie peut devenir l’affaire de tous, par ce coté pratique qu’elle développe.558

Gli interventi

Cette capacité die s’investir dans l’histoire, d’y revenir dune manière cydiq.ue aprés en avoir exprimé des exigences, est le oaractère qui distingue aux yeux de Gramsci, une grande philosophie.

De ce point de vaie, n est pas nécessairement un grand philosophe celui qui a exprimé les idées les plus rares, mais celui qui a ouvert à à son temps et aux générations suivantes des peinspectives capables de bouleverser leur oonseience, de transformer leur mode d’accès à la culture, de changer leur rapport universel et historique iau monde.

Il est possibile qu’un tei philosophe ait parie le langage t[...]

[...]istorique iau monde.

Il est possibile qu’un tei philosophe ait parie le langage techniquement élaboré par les philosophes du passé. Ainsi fit Descartes, ainsi fit Hegel. Mais il est possible aussi qu’il ait parie le langage de tous, quii ait été, pour ainsi dire, un philosophe public, et looncrètement universel. Ainsi furent par exemple les encyclopédistes frangais, et particulièrement Diderot.

Il me semblte que Gramsci a été un penseur de cette espèce, un philosophe universel, mais dun type nouveau. 11 a porté le langage de tous au degré d elaboration sufìisant pour qu en étant repensé, repris, retenu, il puisse tranformer la consicience des hommes et orienter la pratique.

Et cette remarque me conduit à la troisiéme et derniére idée.

Gramsci viviait, et nous vivons aussi après lui, dans un temps où cette unité qu’il cherchait entre la pure universalité du concept et sa racine pratique passe nécessairement par la mèdiation des luttes du prolétariat révolutionnaire. C’est là une donnée objective du développement historique.

Dès ce moment la figure du philosophe qui se veut pratique, change de nature, par rapport à celle qui était donnée dans le passé.

II n’est plus question seulement de porter au grand jour les idées qui eheminent dans les masses.

III n’est plus question seulement d elaboirer une doctrine qui servirà de modèle de pensée, et à laquelle les générations futures devront ac[...]



da Roberto Longhi, Proposte per una critica d'arte in KBD-Periodici: Paragone. Arte 1950 - 1 - 1 - numero 1

Brano: [...]a noi. I nostri migliori nel Settecento ne sono, del resto, già un riflesso. E non voglio far torto agli inglesi più brillanti, dal Richardson al Hogarth, ma i francesi, sian classicisti o sensisti,o compongan le due cose, sono ancora i più penetranti, i più liberi.

Caylus, archeologo per la pelle ma amico di Watteau, addita esplicitamente, ai letterati che s5impaccian di pittura s enza previa preparazione, la lingua artistica degli studi : ‘ Cette langue plus vivante qu5aucune autre et qui se ressent toujours du feu qui l5a fait naitre5.

Il Falconet, polemizzando agilmente in favore della scultura ‘pittorica5, mette nel sacco nientemeno che il tedesco Herder e per primo giustifica criticamente tutto il migliore barocco dal Bernini in poi.

Persino una teoria falsa come quella delPornato, serve, chi lo crederebbe?, al Fénélon per concludere che c5è un mezzo per far buona architettura, quello cioè di voltare in ornamento proprio le parti costruttive delPedificio. Un aforismo così geniale, come annotava cinquantanni fa, riscoprendolo[...]



da Arnaldo Pizzorusso, Lahontan e gli argomenti del selvaggio in KBD-Periodici: Belfagor 1980 - marzo - 31 - numero 2

Brano: [...] delle cose » (DL, 191): agli occhi del lettore, tuttavia, tale apparenza si configura per lo più come semplice evidenza. Pur dichiarandosi in possesso di « ragioni solide » (DL, 170), il Lahontan dialogante ritiene che Adario sia incapace di intenderle. Sembra non aver dubbi sulla sua superiorità di uomo civilizzato; quando si trova a corto di argomenti, non si discosta dalla sua abituale sufficienza: « Il y auroit tant de choses à raconter sur cette question qu'il me faudroit quinze jours pour te les expliquer » (DL, 179).
Non che il dialogante non riconosca (e non ammiri) certe qualità dei selvaggi, collettive o individuali; ma mostra di pensare che tali qualità, per essere realmente e pienamente positive, dovrebbero esercitarsi nel quadro del suo sistema. Ciò significa che, secondo lui, i valori dei selvaggi, se di valori si tratta, non sono autonomi: cosí, mentre non può « stancarsi di ammirare l'innocenza di tutti i popoli selvaggi » (DL, 174), continua a credere ch'essi debbano essere istruiti e catechizzati. Inutile dire che siffa[...]

[...]pas de voir vos Carfours que dans un tems de famine on trouve les morts dans les grands chemins et dans les rues, pendant que Monsieur le Riche n'en rabatroit pas d'un denier pour sa molesse et pour ses plaisirs; lors qu'on voit le villageois, l'artisan, le menu peuple privé des douceurs de la vie, et souffrir la faim et la nudité pour fournir aux désirs insatiables d'un seul homme, qu'en distu, mon Ami, vos Sociétez ne fontelles pas horreur par cette dégoûtante et afreuse moitié? 16
Lo stesso Gueudeville, nel presentare una sua libera traduzione di Tommaso Moro 17, additerà nello spazio ideale dell'Utopia la soppressione dell'ingiustizia: « On ne voit point en Utopie cette quantité prodigieuse d'Infortunez, qui, bien loin de goûter les douceurs de la vie, trouvent à peine de quoi ne pas mourir ». Nel mondo dell'Utopia (solo in esso?) vi sarà compassione per i malati e per i deboli, rispetto e venerazione per i vecchi. Sarebbe questa la perfezione dell'Umanità! « Toutes les Sciences, tous les Arts nourrissent la curiosité de l'Homme: mais pas une ne le tire de la misère et de la souffrance: la seule Etude de l'Humanité, de l'Equité, de la Justice réciproque; oui, cette seule étude a pour objet la Félicité Commune [ ... ] ». Gueudeville è tuttavia convinto che l'[...]

[...] de goûter les douceurs de la vie, trouvent à peine de quoi ne pas mourir ». Nel mondo dell'Utopia (solo in esso?) vi sarà compassione per i malati e per i deboli, rispetto e venerazione per i vecchi. Sarebbe questa la perfezione dell'Umanità! « Toutes les Sciences, tous les Arts nourrissent la curiosité de l'Homme: mais pas une ne le tire de la misère et de la souffrance: la seule Etude de l'Humanité, de l'Equité, de la Justice réciproque; oui, cette seule étude a pour objet la Félicité Commune [ ... ] ». Gueudeville è tuttavia convinto che l'Utopia sia impossibile e
la M. LESCARBOT, La Conversion des sauvages qui ont été baptizés en la Nuovelle France [...], Paris, 1610, p. 34. Si noti però che lo stesso Lescarbot, in piú passi della sua Histoire de la Nouvelle France, 3a ediz., Paris, 1617, mette in evidenza l'estrema povertà di certe popolazioni selvagge.
15 Per tale attribuzione, vedi G. CHINARD, Introduction alla ediz. cit., pp. 37 ss. Su Gueudeville cfr. M. YARDENI, Gueudeville et Louis XIV: un précurseur du socialisme, critique d[...]

[...]se ou l'Utopie de Thomas Morus [...] traduite en françois par Mr. GUEUDEvILLE, Amsterdam, 1730 [17151. Per le citazioni che seguono si veda la Préface du traducteur, pp. vii ss.
LAHONTAN E GLI ARGOMENTI DEL SELVAGGIO 133
pensa che ne fosse egualmente convinto anche quel « grande e raro amico dell'uomo » che fu Tommaso Moro: « Il n'ignoroit pas que, de[s] Millions de Têtes trouvant leur compte dans l'ancien train, le Monde ne s'Utopiera jamais. Cette impossibilité morale ne rebuta pourtant point notre Auteur [ ...1 ».
Anche i Dialogues pongono la domanda: un tale quadro della miseria popolare implica la prospettiva di un cambiamento? Il Lahontan di Gueudeville risponde: Tu bâtis sur l'impossible. Perché l'impossibile divenga reale, perché si giunga a una reale eguaglianza dei beni materiali, occorrerebbe un nuovo diluvio o un « massacro universale ». Ma nemmeno questa risposta mette a tacere l'Adario di Gueudeville: la popolazione « senza capitale e senza fortuna » non è forse la maggioranza? Non costituisce forse, in Francia, la massa d[...]

[...]ale. La libertà deve intendersi in rapporto ai costumi; né il sesso né l'età limitano questo diritto, che appartiene a ogni membro della comunità: « Les Femmes n'ontelles pas la même liberté que les Hommes, et les Enfans ne jouissentils des mêmes privilèges que leurs Pères? » (DL, 228). Il Lahontan dialogante vede piuttosto i pericoli della libertà: confusione, assenza di ogni gerarchia familiare, totale abbandono agli impulsi dei sensi (« toute cette liberté se réduit à vivre dans une débauche perpétuelle »). Ma il Lahontan memorialista rende conto di questi stessi costumi senza una parola di severità o di condanna. Alla libertà sessuale va unita la libertà interiore: tranquillità d'animo, liberté du coeur. Gli affetti dei selvaggi non sono passioni, ma inclinazioni moderate come la benevolenza e l'amicizia: « [ ... ] ils n'ont jamais eu cette sorte de fureur aveugle que nous appellons amour » (MM, 116).
Questa comunità idillica comporta tuttavia l'istituzione e la pratica della schiavitú. Quale sarà la condizione e la vita degli schiavi in una società di liberi e di eguali? Il lettore moderno è probabilmente incline a pensare che ogni concezione di società ideale, anche se non propriamente utopistica, debba essere riferita all'universalità degli uomini. Ma le società selvagge sono società guerriere, anche se le loro guerre non mirano alla conquista e al possesso dei territori Z0. La schiavitú è legata alla guerra e all'esito dell[...]



da Bertrand Hemmerdinger, recensione su Luciano Guerci, Libertà degli antichi e libertà dei moderni, Sparta, Atene e i «philosophes» nella Francia del settecento, Napoli, Guida, 1979, pp. 284 in KBD-Periodici: Belfagor 1980 - luglio - 31 - numero 4

Brano: [...]9), que Guerci emprunte son titre apparent: Libertà degli antichi e libertà dei moderni. Mais son titre véritable est son soustitre: Sparta, Atene e i « philosophes » nella Francia del Settecento. Ce siècle qui
RECENSIONI 487
s'achève en 1789, que pensetil de Sparte et d'Athènes? Voilà le point capital sur lequel tourne le livre de Guerci. Il écrit (p. 8): « Ho volutamente riservato uno spazio esiguo ai primi attori: Montesquieu et Rousseau ». Cette décision de sacrifier les protagonistes au commun des auteurs est conforme à l'esprit niveleur de notre époque. En 1837, dans son Don Quixote, Heine note déjà: « Nous l'avons bien vu après la révolution de Juillet, lorsque l'esprit du républicanisme se manifesta dans tous les rapports sociaux. Le laurier d'un grand poëte était tout aussi haïssable à nos républicains que la pourpre d'un grand roi. Ils voulaient supprimer aussi les différences intellectuelles entre les hommes... ».
D'ailleurs, s'agissant de Sparte et d'Athènes, ce n'est ni Montesquieu ni Rousseau, c'est Pierre Bayle (16471706)[...]



da Roberto Pertici, Giovanni Amendola: l'esperienza socialista e teosofica (1898-1905) in KBD-Periodici: Belfagor 1980 - marzo - 31 - numero 2

Brano: [...]subliminale, cfr. HENRI F. HELLENBERGER, La scoperta dell'inconscio, Torino, Boringhieri, 19762, pp. 36870. Ma è ancora da rileggere con profitto il saggio di PIERO MARTINETTI, Occultismo e divinazione, « Studi filosofici », n, 1941, pp. 235 e segg.
17 EUGENIO GARIN, Giovanni Vailati, in Intellettuali italiani del XX secolo, Roma, Ed. Riuniti, 1974, p. 82.
r
196 VARIETÀ E DOCUMENTI
esoteriche. Il 6 giugno 1904, poteva cosí scrivere ad Eva: « Cette empreinte morale de ma vie s'est faite toujours plus fort et a exercé une influence marquée sur la forme de mes idées théosophiques... A Padova ma tendence vers une simple vie morale s'est faite toujours plus marquée » (Kühn, p. 59), ed il 15 agosto ormai la consapevolezza di aver lasciato alle spalle l'esperienza teosofica era ancora phi lucida: « L'année prochaine doit être pour nous l'année de la delivrance — je me détacherai ... de la' théosophie de Mrs. Oakley, envers laquelle j'ai regagné l'équilibre et la justice que je savais d'avoir perdue, mais avec laquelle je n'aurai rien en commu[...]


Grazie ad un complesso algoritmo ideato in anni di riflessione epistemologica, scientifica e tecnica, dal termine Cette, nel sottoinsieme prescelto del corpus autorizzato è possible visualizzare il seguente gramma di relazioni strutturali (ma in ciroscrivibili corpora storicamente determinati: non ce ne voglia l'autore dell'edizione critica del CLG di Saussure se azzardiamo per lo strumento un orizzonte ad uso semantico verso uno storicismo μετ´ἐπιστήμης...). I termini sono ordinati secondo somma della distanza con il termine prescelto e secondo peculiarità del termine, diagnosticando una basilare mappa delle associazioni di idee (associazione di ciò che l'algoritmo isola come segmenti - fissi se frequenti - di sintagmi stimabili come nomi) di una data cultura (in questa sede intesa riduttivamente come corpus di testi storicamente determinabili); nei prossimi mesi saranno sviluppati strumenti di comparazione booleana di insiemi di corpora circoscrivibili; applicazioni sul complessivo linguaggio storico naturale saranno altresì possibili.
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