Brano: [...]ianti significative, il ritratto di Renoir, forse il più alto del libro; e del quale è da leggere62
LIBRI
Natanson almeno un passo (p. 15): ‘Il fallait que tout en lui bougeàt perpétuellement. Que tout bougeàt. Et d’abord un corps allongé, tantót voùté, redressé tantót, plus maigre de flotter un peu dans les vétements, corps de droite et de gauche balancé, qui ne faisait qu’aller et venir et précipiter ses enjambées ; puis sa volubilité. Aussi bien, les yeux, toujours en quéte, qui regardaient avidement, des yeux bruns, humides, dont l’un clignotait sans cesse et l’autre était voilé de douceur. Mais jusqu’aux tics qui, sans répit, faisaient dancer les traits, arrivaient à les tordre, et dont les battements répétés, à force de les agiter de trilles, avaient entre eux creusé des sillons. Et jusqu’aux doigts, toujours occupés, mélant aux mots précipités leur gesticulation, et, au travail bousculant les pinceaux. Jusqu’aux sursauts du rire, montant et descendant, parfois en tempéte, ne ménageant rien ni personne, ni soi. Jusqu’aux ciga[...]
[...]u’aux tics qui, sans répit, faisaient dancer les traits, arrivaient à les tordre, et dont les battements répétés, à force de les agiter de trilles, avaient entre eux creusé des sillons. Et jusqu’aux doigts, toujours occupés, mélant aux mots précipités leur gesticulation, et, au travail bousculant les pinceaux. Jusqu’aux sursauts du rire, montant et descendant, parfois en tempéte, ne ménageant rien ni personne, ni soi. Jusqu’aux cigarettes enfin, aussitót allumées que roulées, éteintes qu’allumées, rallumées qu’éteintes, allant, les unes après les autres, rejoindre le petit tas qui croissait sur une table ou en quelque coin; cigarettes volages ayant eu juste le temps de brunir encore les doigts du fumeur, de dorer des brins blancs de la moustache ou de la barbiche sur les pommettes saillantes. Le mouvement qui, sans cesse, agitait à la fois tout le corps et chacun des traits de Renoir il semblait que rien ne pùt un instant le contenir. Souvent, dans un oeil, il faisait briller une larme.’
Peccato non poter insistere con le citazioni. Rit[...]
[...]abilité et dispensait des mots et des morceaux que des ivrognes estropieraient’; e Régnier, Coolus, Gide, Mirbeau, Lorrain, e tutti gli altri.
Come ultimo tocco di patetica umanità, alla maniera, si direbbe, di Ravel, il commiato allo scontroso Bonnard, dopo morte: ‘Pierre,monbien cher Pierre, j’ai peutétre trop parlé de vous. Vous trouviez toujours qu’on en parlait trop. Aujourd’hui c’est pour rester avec vous davantage. D’un peu près... Moi aussi j’ai voulu m’approcher à mon tour de vousaussi près que possible. Ne vous reculez pas. Laissezvous faire. N ne nous sommes pas embrassés si souvent.5 Un’obiezione facile sull’opportunità dei molti ritratti di gente p minuta, Bernard, Besnard, ecc., è subito confutabile quando si r che il metodo del libro è quello, proustiano, della completa ricosti di un ambiente; e s’è già detto della capacità di graduazione. La st delPatmosfera era quella. E c’è da chiedersi persino se molti rit come quelli di Redon, di Roussel, di Vallotton, di Couturier, di e persino di tipi eterocliti e in margine come Maze, Mouclier, d’altri ancora non torne[...]